Maithias Kenny ~ Ma vie est devenue une véritable enfer

Maithias Kenny

Histoire

Chaque histoire commence par le commencement, moi, je n'ai pas vraiment de commencement à mon histoire ni de fin. Comme l'histoire que je vais vous raconter mon histoire elle ne vaut pas la peine d'être racontée, car elle est vraiment horrible. De plus, je n'aimais pas vraiment raconter ce genre d'histoire. Comme je savais que personne, aimerait, vivre, ce que, j'avais vécu. J'évitais de le raconter pour que personne ne fasse la même erreur, que j'avais faite dans la vie et qui a coûté la vie à plusieurs personnes et avait détruit d'autres vies y compris la mienne. Je ne sais, vraiment par où commencer, regarder juste, à vous en parler et je n'ai pas commencé,j'ai les larmes aux yeux. Je n'en peux vraiment plus, je ne suis pas capable de vous en parler. Tellement que j'ai de la difficulté à parler actuellement. Même aujourd'hui je ne veux plus rien savoir de vous en dire un seul mot, tellement que ce passé m'affecte.Voilà enfin mon histoire.

Le commencement

J'étais, né à l'autre bout du monde en Irlande, alors non l'anglais n'était pas ma langue natale, mais bien ma deuxième langue, j'étais assez à l'aise dans cette langue. Ma relation avec était vraiment, difficile, car au lycée cela, allait pas bien non plus, je n'avais pas d'amis, je devais compter que sur moi-même. Ma vie commençait vraiment très mal, cela, ne savais pas ranger au fil du temps que je grandissais, mais j'apprenais tout de même des autres autour de moi, je devenais enfin,j'essayais de devenir meilleur en travaillant très fort au lycée. Mais au fil du temps plusieurs personnes ont vu que j'étais seul, alors je me faisais peu à peu, des amis, mais pas beaucoup. J'étais plus ignoré que, autre chose, mon caractère n'aidait en rien non plus. Je sortais beaucoup, mais le plus souvent, j'étais seul ou parfois avec mes parents. Un jour, alors que j'étais âgé de 20 ans, mes parents décidèrent de déménager à cause, qu'ils étaient, tanné d'être dans ce pays à Atlanta. Non mais c'était super,je venais de commencer ma vie et on déménage. Je devrais alors tout refaire là-bas, de tôt façon je n'aurais pas plus d'amis, encore moins dans un nouveau, lycée. Après quelques mois,on part enfin pour cette grande ville, j'allais tout redécouvrir à nouveau. J'étais assez nerveux, mais je devais voir le positif, mais en même temps cela, me fis quelque chose de quitter mon chez-moi.



La rencontre de la personne avec qui je partage ma vie

Une fois, rendue dans ma nouvelle ville je m'habituais peu à peu, cela prenait du temps, mais j'allais y arriver. De même, pour le lycée,cela n'allait pas plus, bien, mais j'avais de meilleures notes. Tellement que je décide de travailler comme sauveteur à la plage de la ville. Cela allait me faire quelque chose à faire, aussi, j'allais me faire un peu de sous. J'allais du même coup voir cette magnifique plage, j'avais aussi la forme physique pour alors cela allait bien. Je savais très bien, que j'allais être dans les meilleurs. Après quelques longs mois , de travail et d'entraînement,j'avais enfin eu le poste, cela sans , l'aide de mes parents, rien, car ils étaient toujours indifférents de moi. Par un beau jour de congé de lycée, j'allais travailler à la plage, il faisait chaud,j'étais assez heureux. Il avait beaucoup de monde, mais il n'avait pas d'intervention à faire,c'était assez tranquille. Après quelques minutes au loin,j'aperçois, un gars qui me regarde sans arrêt. Aussitôt, que j'avais du temps libre,j'allais enfin en sa direction, je me demandais ce qu'il me voulait. Je n'aurais jamais dit cela comme ça, mais il était vraiment beau, c'est alors qu'à ma pause, je retournais le voir et j'y parlais. Voilà comment j'avais rencontré mon amoureux, on sortait de plus en plus ensemble et on passait beaucoup de temps ensemble. Tellement que mes parents étaient tannés que je sois toujours partie, ou qu'il vient à chaque jour chez nous. Je devais en profiter, car c'était la seule personne, que je pouvais sortir avec,car c'était la seule personne que j'avais rencontrée ici. Je l'aimais tellement il était tout pour moi.



Mon accident et la perte de celui que j’aime

Ce moment de ma vie a été encore plus terrible, je le regrette encore aujourd’hui, il me manque tellement. Ma vie a vraiment changé depuis, mon accident même qu'aujourd'hui, j’ai encore les images de ce moment, je n’en n'es même de la difficulté à dormir. J’étais chez moi avec mon petit ami, je passais la soirée seule avec lui et on fêtait ma fête de 23 ans et on buvait quelques verres. La soirée passait vraiment vite et super bien, je m’amusais beaucoup auprès de lui,on jouait à des jeux vidéo et autres. Après quelques heures, il était déjà rendu 0 : 45, je voulais aller dormir chez mon ami. J’allais alors informer à mes parents, que j’allais partir dormir chez mon petit ami. Mais je n’avais pas pensé sur le coup, des conséquences de l’alcool sur la conduite. Je franchis alors la porte, pour ensuite monter dans ma voiture sport auprès de mon petit ami. Je prends alors la route celle-ci allait bien, je prends alors l’autoroute. Mais tout du coup alors que je prenais après quelques minutes, la sortie, je ne sais pas pourquoi, mais j'avais accéléré au lieu de ralentir. Je prends alors le décor et je fis plusieurs tonneaux, cela savait tellement passer rapidement, je n'avais rien vu venir. Après quelques minutes je me réveille, je hurle en douleur, je regarde ma jambe gauche elle était en très mauvaises était et j’étais plein de sang. Je regarde vers mon petit ami, il était sûrement mort sur le coup vu son état. Je hurle tout d’un coup pour ensuite pleurer, c’est à ce moment que j’attends courir vers moi. C’étaient les services d’urgences, après quelques très longues minutes, ils me sortent de l’habitacle.

Pour enfin me mettre sur la civière et j’allais, rapidement en direction de l’hôpital. Dans l’ambulance, je pensais à mon petit ami qui n’était plus de ce monde et je pleurais, moi aussi, je pensais que j’allais quitter ce monde, je ne voulais pas. Après quelques minutes,je rentre sans attendre aux urgences, ils devaient m’opérer d’urgence à la jambe gauche. Mais pendant celle-ci, ils avaient dû amputer ma jambe. Après six heures, je me réveille alors, je regarde autour de moi, j’étais dans cette chambre d’hôpital vide. J’étais vraiment perdu et j’étais branché de partout, j’étais de plus vraiment mélangé. C’est alors que j’aperçois du même coup une infirmière qui entre, elle m’explique alors pour ma jambe et ce qui s’était passé. Je pleure je n’allais plus qu’avoir une jambe maintenant, l’infirmière s’approche alors de moi. Je viens contre elle, pour ensuite me dire où étaient mes parents, je lui réponds alors chez nous, mais ils ne veulent plus rien savoir de moi. Je voulais juste voir mon petit ami en ce moment et personne d’autres. L’infirmière m’explique alors que dans quelques jours, quand la plaie saura guérie, j’aurais ma prothèse et la réhabilitation. Je lui dis alors que c’était parfait, mais j’avais peur pour la suite des événements pour mon travail de sauveteur surtout. Mais j’allais tout faire pour garder ce travail et j’allais même, apprendre à nager avec si c’était ce qu’il fallait.

Après quelques longues semaines et différentes visites et des nuits difficiles, j’allais alors en réhabilitation. J’allais à chaque jours et j’avançais parfois tranquillement parfois, je reculais et parfois, je restais stable, il y avait eu des moments de découragement, mais il ne fallait pas. Après de très longs mois passé à l’hôpital à réapprendre à marcher et à me sévir, de ma nouille jambe, j’allais enfin en direction de chez nous. J’avais vraiment peur de la réaction de mes parents, en me voyant, même moi parfois en me regardant, je trouvais cela encore difficile d’avoir juste une vraie jambe. Mais cela,c'était mieux d’en perdre une que les deux selon moi, mais tous ses événements cela était de ma faute, car j’avais vu et je n’aurais pas dû. J’avais aussi peur des regards sur ma jambe des autres autour de moi, il va me falloir aussi quelques jours à m'habituer à ma prothèse lors de mon travail à la plage, cela ne va pas être très facile. Mais bon une chance que je vais pouvoir utiliser des béquilles parfois, cela allait être utile tout de même quand je sentirais que je saurais inconfortable avec ma nouvelle jambe.





La mort de ceux qui m’ont mit au monde

Après quelques mois, j’étais déjà rendu à la maison, auprès de mes parents. Comme à l’habitude, ils m'acceptèrent encore moins c’était bien dommage. Un jour comme les autres, je faisais mes travaux dans mon lit, quand mes parents venaient dans ma chambre. Ils voulaient me parler bon pour une fois, que cela arrivait, j’allais les écouter. Ils ne voulaient plus de moi, ils voulaient, que j’aille dans le pensionnat de la ville pour qu’ils m’aident et ils disaient que je saurais mieux là-bas. C’était parfait, j’allais aller là-bas si ils me considéraient comment dirai-je comme un « fou ». Je les regarde tour à tour pour ensuite me lever, les pousser violemment contre le mur. Ils ne voulaient jamais m’aider dans ma vie, je les comprends , parfaitement pourquoi  ils m’envoient là-bas. C’était vrai que j’étais assez agressif aussi, mais cela était de leurs fautes et pas de la mienne. C’est alors que je prends un objet tranchant dans ma chambre, pour ensuite en finir avec eux. Je hurle tout d’un coup pour ensuite fondre en larmes, j’étais vraiment seul dans la vie. Je ne pouvais compter que sur moi-même, je fis rapidement mes bagages et je partais seul, dans les rues de la ville au coucher du soleil.




Ma nouvelle vie dans la ville d'Atlanta

Voilà,aujourd'hui, j'étais rendu dans ce pensionnat, j'allais y rester toute ma vie là - bas en espérant que ma situation, aille mieux. Mais aux moins, je continuais à travailler un peu comme sauveteur à la plage. J'espérais que mon futur allait bien se passer, car je voudrais vraiment avoir une bonne vie. J'avais tout de même peur de la suite, j'espérais bien m'attendre avec le personnel du lieu. Surtout,avec les autres qui allaient avoir là-bas, car je n'avais vraiment pas fini des moqueries et autre sinon.Je vous laisse découvrir le reste,si vous croisez mon chemin un jour.

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